Critique : Danny the Dog
Bon, autant le dire tout de suite, le sujet brûlant du week-end à la rédaction aura été sans contestation possible la place que l'on devait accorder sur le
Bart a élevé Danny comme un chien, dressé pour tuer. À 30 ans, il ne connaît de la vie que son maître, la pièce dans laquelle il est resté reclus et les combats sanguinaires pour lesquels il est entraîné. Après un règlement de compte, Danny se retrouve seul, perdu. Sam, doux, humain, artiste, et sa belle fille mélomane le recueillent. À force d'amour, de patience et de gentillesse, Sam et Victoria vont défaire le long apprentissage de la violence qu'il a connue.
Bon, autant le dire tout de suite, le sujet brûlant du week-end à la rédaction aura été sans contestation possible la place que l'on devait accorder sur le
Entre deux embardées américaines plus ou moins poussives (Roméo doit mourir, The One, En sursis), Jet Li avait déjà fait un petit tour par chez nous pour jouer