Critique : À boire
En regard de ce long métrage qui use la pellicule autant que le spectateur, ainsi qu'en référence à son précédent film et jolie réussite (Reines d'un jour),
Critique - Film
13/12/2004
Inès Larue vient de se faire larguer avec une note d'hôtel de 12 000 euros, Pierre-Marie Archambault est un médecin alcoolique en cure de sevrage, Seb Abd Al Abbas a un bras cassé et ses vacances sont à l'eau. Trois personnages coincés dans le froid d'une station de ski, et qui auraient bien besoin d'un petit verre…
En regard de ce long métrage qui use la pellicule autant que le spectateur, ainsi qu'en référence à son précédent film et jolie réussite (Reines d'un jour),