Critique : Molière
Il est toujours intrigant de voir ce qu'un réalisateur ayant uvré dans une certaine catégorie peut tirer d'un projet complètement différent en termes de genre
En 1644, Molière n'a encore que 22 ans. Criblé de dettes, poursuivi par les huissiers, il s'entête à monter sur scène des tragédies dans lesquelles il est indéniablement mauvais, puis un jour, après avoir été emprisonné par des créanciers impatients, il disparaît… Deux années capitales faites de rencontres, d'apprentissages, d'aventures, qui forgeront le destin… du grand Molière.
Il est toujours intrigant de voir ce qu'un réalisateur ayant uvré dans une certaine catégorie peut tirer d'un projet complètement différent en termes de genre
Année après année (on pourrait presque dire mois après mois, vu le rythme auquel il enchaîne les films), la success story de Romain Duris au sein du cinéma