Critique : Un crime dans la tête
Sorti dans les salles en pleine guerre froide, quelques mois avant l'assassinat de Kennedy, et point de départ d'un nouveau sous-genre, baptisé « politique-fiction
A son retour de la guerre de Corée, Raymond Shaw reçoit la médaille d'honneur du combattant. Il est décoré par le président des Etats-Unis. Tout le monde ignore que, durant sa captivité, il a subi un lavage de cerveau qui a fait de lui le jouet de l'ennemi. Manipulé par un agent communiste qui s'avère être sa mère, il prépare la délicate mission qu'on lui a confiée : assassiner le Président. En retrouvant sa fiancée, il redevient l'homme qu'il était avant la guerre. Mais ce retour à la normale s'avère très provisoire. Le capitaine Bennett Marco fait régulièrement un étrange cauchemar dans lequel Raymond Shaw, qui commandait sa patrouille en Corée, est hypnotisé et tue un soldat...
Sorti dans les salles en pleine guerre froide, quelques mois avant l'assassinat de Kennedy, et point de départ d'un nouveau sous-genre, baptisé « politique-fiction
L'élection présidentielle française met la politique dans tous ses états, mais c'est mieux quand elle l'est au cinéma et sur le petit écran.