Critique : Bangkok Renaissance
Nostalgique d’une période bénie (les 80’s) où dans ton
cinéma de quartier, tu pouvais encore voir Jeff Speakman faire des Kata sur de
la musique électro,
Manit, un petit garçon de dix ans assiste à l’assassinat de ses parents. Implacables, les tueurs décident de l’éliminer. Touché à la tête, l’enfant survit miraculeusement à ses blessures, mais se retrouve frappé d’ataraxie. Les dommages provoqués à son cerveau lui ont enlevé toute émotion. Sauvé d’une mort certaine par un vieux maître d’arts martiaux, Manit, 20 ans plus tard, devenu une véritable machine de guerre, retourne sur les lieux de son enfance… La justice va s’abattre… Et des hommes vont mourir…
Nostalgique d’une période bénie (les 80’s) où dans ton
cinéma de quartier, tu pouvais encore voir Jeff Speakman faire des Kata sur de
la musique électro,
La trilogie de Brett Ratner va connaitre une seconde jeunesse à la télévision et fait appel à un guerrier au poing d'acier.