Critique : Entre deux rives
Un homme, une femme (et pas de chabadabada). Il est architecte, il a un chien qui s'appelle Jack. Elle est médecin, elle a un chien qui s'appelle Jack. Il vit
Le Docteur Kate Forster s'apprête à entamer une nouvelle carrière et une nouvelle vie dans un grand hôpital de Chicago. Son seul regret : abandonner la superbe maison qu'elle avait louée sur les berges d'un lac de l'Illinois... Avant de partir, elle laisse un mot à l'attention du prochain occupant, pour lui demander de faire suivre son courrier et lui indiquer que les empreintes de pattes qui maculent la jetée et le seuil de la maison étaient déjà là avant qu'elle n'y emménage. En prenant possession des lieux, l'architecte Alex Wyler a un choc : la maison, poussiéreuse, sale, ne ressemble en rien à l'image qu'il s'en faisait. Et pas la moindre trace de pattes... Des années plus tôt, Alex avait occupé cette résidence familiale, construite par son père. Il décide de la restaurer sans prêter davantage attention au mystérieux message de Kate...
Un homme, une femme (et pas de chabadabada). Il est architecte, il a un chien qui s'appelle Jack. Elle est médecin, elle a un chien qui s'appelle Jack. Il vit
Puisque les parisiens dégoulinent de sueur dans les rues de la capitale en cette période de canicule (à l'exception peut-être de ceux qui profitent de la plage