Critique : Guilty of romance
Dernier opus du cycle de Sono Sion consacrée aux déviances de la société japonaise, appelée aussi "trilogie de la haine", après Love Exposure et
Cold Fish,
Izumi est mariée à un célèbre romancier romantique mais leur vie semble n'être qu'une simple répétition sans romance. Un jour, elle décide de suivre ses désirs et accepte de poser nue et de mimer une relation sexuelle devant la caméra. Bientôt, elle rencontre un mentor et commence à vendre son corps à des étrangers, mais chez elle, elle reste la femme qu'elle est censée être. Un jour, le corps d'une personne assassinée est retrouvé dans le quartier des "love hotels". La police essaie de comprendre ce qui s'est passé.
Dernier opus du cycle de Sono Sion consacrée aux déviances de la société japonaise, appelée aussi "trilogie de la haine", après Love Exposure et
Cold Fish,
Quand Nicolas Cage s'allie à Sono Sion pour Prisoners of Ghostland, une certaine partie de notre anatomie nous dit bonjour...
Cannes, Gérardmer, Saint-Jean-De-Luz, on aime bien les festivals. Mais quand en plus ils sont consacrés aux fesses, on ne va pas se gêner pour en parler.