Critique : Et soudain tout le monde me manque
Avec Jusqu'à toi,
Jennifer
Devoldère nous avait fait plutôt bonne impression,
rappelant bien avant L'Arnacoeur que le cinéma
français savait conjuguer un
La famille, c'est compliqué… Surtout quand Eli, le père, bientôt 60 ans, attend un enfant de sa nouvelle femme. À l’annonce de la nouvelle, ses deux grandes filles, Dom, qui cherche a adopter, et Justine, qui passe d’un petit ami à un autre sans trop d’état d’âme, sont ébranlées. Pour se rapprocher de Justine avec qui il n’a jamais pu s’entendre, Eli a la bonne idée de se lier d’amitié avec tous ses ex… A son insu. Mais lorsque Justine tombe de nouveau amoureuse et qu’Eli s’apprête à tout gâcher, la famille est sur le point d’imploser. Est-ce que tout ce petit monde va parvenir à se réconcilier avant qu’il ne soit trop tard ?
Avec Jusqu'à toi,
Jennifer
Devoldère nous avait fait plutôt bonne impression,
rappelant bien avant L'Arnacoeur que le cinéma
français savait conjuguer un