Critique : Neds
Quand un jeune surdoué se prend au jeu des gangs, le
résultat est sanglant. Neds fait un
grand écart maîtrisé entre Dog Pound, de Kim Chapiron et Rusty
James,
"Si vous voulez un NED, vous allez avoir un putain de NED !" Glasgow, 1973. Le jeune John McGill est sur le point d’entrer au collège. Garçon brillant, la voie est cependant loin d’être toute tracée pour lui, entre un père violent et les préjugés de ses professeurs qui n'ont pas oublié son frère aîné "irrécupérable", Benny, devenu membre des NEDS. Les NEDS (Non Educational Delinquents), dangereuses petites frappes, font régner la terreur dans les quartiers. La réputation de Benny vaut à John d’être protégé et lui ouvre très vite les portes du gang.
Quand un jeune surdoué se prend au jeu des gangs, le
résultat est sanglant. Neds fait un
grand écart maîtrisé entre Dog Pound, de Kim Chapiron et Rusty
James,