Critique : The Prodigies
Tandis que les
américains nous abreuvent à longueur d'année avec leurs longs-métrages
d'animation (3D pour la plupart), il est suffisamment rare d'en voir
Imaginez-vous doté d’une intelligence surhumaine, du pouvoir de contrôler les autres par la force de l’esprit, de les transformer en marionnettes dépourvues de volonté, obéissant à vos ordres les plus fous… Ce don fascinant et terrible Jimbo Farrar le connaît bien car depuis son enfance, il le possède. Brillant chercheur à la tête de la Fondation Killian pour enfants surdoués, très amoureux de sa femme Ann, Jimbo n’a qu’un but : trouver d’autres prodiges comme lui. Il imagine alors un jeu en ligne d’une complexité extrême et finit par découvrir cinq adolescents qu’il décide de réunir à New York...
Tandis que les
américains nous abreuvent à longueur d'année avec leurs longs-métrages
d'animation (3D pour la plupart), il est suffisamment rare d'en voir
Certains échecs sont plus ou moins compréhensibles. Celui de The Prodigies l'est, même si ce film d'animation français mérite qu'on se souvienne de son audace.