Le dernier volet de la saga Divergente perd son réalisateur
Si l'on ne parle pas beaucoup de la saga Divergente, c'est parce qu'il n'y en a pas grand chose à dire au final. Les films s'enchainent avec un rythme tranquille, les scores sont plutôt bons, tout se passe sans histoire. Jusqu'à aujourd'hui.
Nous apprenons en effet que Robert Schwentke, réalisateur des deux derniers films de la saga vient de claquer la porte de l'ultime épisode, Divergent : Ascendant. Une décision d'autant plus surprenante que l'adaptation des livres de Veronica Roth lui doit beaucoup. Alors que Au-delà du Mur s'apprête à débarquer dans nos salles, ce départ pourrait freiner la production du dernier film qui doit maintenant trouver un nouveau réalisateur.
Pour autant, le calendrier n'en est pas bousculé le moins du monde puisque le film est toujours prévu pour une sortie le 9 juin 2017. Le site Deadline précise que ce départ n'a rien d'un conflit entre lui et la production, d'un classique différent artistique, mais qu'il s'agit plus d'un burnout. En effet, selon le site, le réalisateur serait sorti épuisé du dernier film et avait grandement besoin de repos. On imagine sans peine la pression qui doit être la sienne ainsi que l'énergie devant être déployée, l'enjeu n'étant pas minuscule.
On espère qu'il se remettra et que la production trouvera un réalisateur capable d'embrasser la vision de son prédécesseur. Ce serait dommage que les dernières aventures de Tris en pâtissent.
Divergente : Au-delà du Mur est quant à lui prévu sur nos écrans le 9 mars prochain.
10/02/2016 à 10:28
Les sagas ados nécessitent un rythme très soutenu, avec un film tous les deux ou trois ans et la volonté de diviser les trilogie en 4, difficile de faire croire que les héros sont toujours ados à la fin.
10/02/2016 à 10:27
Si on n'en parle pas, c'est surtout car c'est une franchise pour ados assez médiocre, non ?
D'ailleurs, ils peuvent bien récupérer Neil Burger, qui avait signé le premier opus... Il n'avait pas fait pire que Schwentke.
09/02/2016 à 19:08
En meme temps avec le rythme à la con d'un film par an, c'était à prévoir.