[video] Interview carrière de Patrice Leconte (partie 1)

Paul Béranger | 8 mai 2011
Paul Béranger | 8 mai 2011

Alors qu'est sorti récemment (mars 2011) un excellent livre d'entretiens conduits par Hubert Prolongeau (J'arrête le cinéma), Patrice Leconte revient au cinéma avec Voir la mer, une sorte de premier film totalement rafraîchissant où le cinéaste retrouve le plaisir de filmer qu'il semblait avoir perdu depuis quelques années. L'occasion de rencontrer pour la troisième fois le réalisateur et lui proposer une nouvelle interview carrière. Mais cette fois-ci en vidéo et en tentant d'évoquer tous ses films. Etant donné la générosité du monsieur, l'interview a été coupée en deux parties. Voici la première qui couvre ses débuts en 1975 avec Les Vécés étaient fermés de l'intérieur jusqu'à 1994 et la sortie des Grands ducs.

 

 

Des débuts cauchemardesques

Patrice Leconte revient sur l'expérience plus que difficile du tournage des Vécés étaient fermés de l'intérieur. Et notamment l'opposition farouche  qu'il a eu avec Jean Rochefort.

 

 



La saga des Bronzés : la chance d'une vie

Ou comment un film peut bouleverser la vie d'un cinéaste. Patrice Leconte évoque la rencontre avec la bande du Splendid, la manière dont il a envisagé les deux premiers films. Et il revient avec un certain recul sur ce fameux Bronzés 3 qui en a déçu plus d'un.

 

 

 

Leconte, réalisateur de comédies

Le réalisateur évoque la routine dans laquelle il s'installe au début des années 80. Il parle de sa relation privilégiée avec Michel Blanc. 

 

 

 

Le tournant de sa carrière

Ou comment le choix et le succès des Spécialistes ont permis à Patrice Leconte de se lancer dans un autre registre. Retour sur un film au succès exceptionnel dans le paysage cinématographique français. 






Les 3 glorieuses : Un auteur est né

Avec Tandem, Monsieur Hire et Le Mari de la coiffeuse, Patrice Leconte change de statut. Retour sur une période faste (public et critique) pour le cinéaste.

 

 

 

Le retour de bâton

Après une triplette prestigieuse, Leconte enchaîne avec trois films qui ne trouvent pas leur public et qui laissent la critique bien mitigée : Tango, Le Parfum d'Yvonne et Les Grands ducs.

 

 

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