Le Vent se lève : critique
Pour son dernier (?) film, Hayao Miyazaki n'a pas choisi la facilité.
Inspiré par le fameux concepteur d'avions Giovanni Caproni, Jiro rêve de voler et de dessiner de magnifiques avions. Mais sa mauvaise vue l'empêche de devenir pilote, et il se fait engager dans le département aéronautique d'une importante entreprise d'ingénierie en 1927. Son génie l'impose rapidement comme l'un des plus grands ingénieurs du monde. Le Vent se lève raconte une grande partie de sa vie et dépeint les événements historiques clés qui ont profondément influencé le cours de son existence, dont le séisme de Kanto en 1923, la Grande Dépression, l'épidémie de tuberculose et l'entrée en guerre du Japon. Jiro connaîtra l'amour avec Nahoko et l'amitié avec son collègue Honjo. Inventeur extraordinaire, il fera entrer l'aviation dans une ère nouvelle.
Pour son dernier (?) film, Hayao Miyazaki n'a pas choisi la facilité.
Pour la sortie du Garçon et le héron, on s'est demandé si Hayao Miyazaki avait déjà réalisé un seul mauvais film. Et la réponse est évidemment non.
Il ne sait décidément pas s'arrêter celui-là. Et là, on ne parle pas d'un court-métrage.
Le Maître a donc décidé de revenir. Mais, calmons-nous, il ne s'agit pour l'instant que le temps d'un court-métrage. En image de synthèse.