Critique : Moi, Michel G, milliardaire, maître du monde
La dictature de la comédie calibrée
pour s'avachir à 20h30 sur le réseau hertzien se poursuit sans
l'espoir qu'une révolution la renverse. À tel point que
Homme d'affaires à succès, symbole d'un capitalisme moderne et décomplexé, Michel Ganiant a tout : l'argent, le pouvoir, l'amour. Et il veut que ça se sache. Alors qu'il s'apprête à réaliser le «coup» de sa carrière, il accepte de
se laisser suivre par la caméra de Joseph Klein, journaliste impertinent et engagé. Ce devait être une ode au génie du grand homme. Ce sera un voyage sidérant et jubilatoire dans les coulisses du business et la vie des riches et puissants. Bienvenue dans le monde de Michel Ganiant. Pas de bol, c'est aussi le vôtre...
La dictature de la comédie calibrée
pour s'avachir à 20h30 sur le réseau hertzien se poursuit sans
l'espoir qu'une révolution la renverse. À tel point que