Le Bon, la brute et le cinglé : Critique
Après l’hommage rendu par Takeshi Miike au western italien avec son Sukiyaki western django, c’est au tour de Kim Ji-woon de payer son tribut à Sergio Leone.
Critique - Film
15/12/2008
Les années 30 en Mandchourie. Le Cinglé vole une carte aux trésors à un haut dignitaire japonais. La Brute, tueur à gages réputé, est payé pour récupérer cette carte. Le Bon veut retrouver le détenteur de la carte pour empocher la prime. Un seul parviendra à ses fins, s'il réussit à anéantir l'armée japonaise, les voyous chinois, les gangsters coréens... et ses deux adversaires.
Après l’hommage rendu par Takeshi Miike au western italien avec son Sukiyaki western django, c’est au tour de Kim Ji-woon de payer son tribut à Sergio Leone.