Critique : The Player
Avec Robert Altman pendant plus
de 50 années l'Amérique entière en a pris pour son grade : des militaires
ou des bourgeois aux paysans, de la violence quotidienne
Jeune, beau et arrogant, Griffin Mill est responsable de production dans l'une des grandes compagnies d'Hollywood. Son cynisme et son empressement à jeter à la poubelle les scénarios qui n'ont pas l'heur de lui plaire lui valent quelques ennemis acharnés, dont un mystérieux auteur de lettres anonymes qui ne cesse de le harceler. Griffin soupçonne un scénariste dépité, David Kahane, et lui donne rendez-vous. L'entretien tourne au pugilat. Kahane y laisse la vie. Griffin maquille son crime puis rend visite à la compagne du défunt, qu'il trouve à son goût et assez bien faite pour apaiser ses remords. Pendant ce temps, les lettres anonymes continuent d'arriver...
Avec Robert Altman pendant plus
de 50 années l'Amérique entière en a pris pour son grade : des militaires
ou des bourgeois aux paysans, de la violence quotidienne
Alors que 1917 impressionne par son choix d'axer la narration toute entière autour d'un unique plan, on revient sur l'histoire de cette technique.