Critique : Grindhouse
Il y a des films qui possèdent un énorme quotient sympathie
avant même que la première bobine ne démarre. Grindhouse fait assurément partie
de cette catégorie.
Un diptyque déjanté, hommage aux films d'exploitation et aux doubles-programmes des années 70, composé de Grind House - 1ère séance : Deathproof de Quentin Tarantino et Grind House - 2ème séance : Planet Terror de Robert Rodriguez. Le film est sorti en une seule partie aux Etats-Unis, au Canada, en Angleterre et en Australie, et en deux parties dans les pays non-anglophones.
Il y a des films qui possèdent un énorme quotient sympathie
avant même que la première bobine ne démarre. Grindhouse fait assurément partie
de cette catégorie.
Tarantino, l'enfant terrible d'Hollywood et chouchou du Festival de Cannes pourrait retourner sur la croisette pour présenter son dernier film. En effet, Death
On pouvait s'y attendre et le redouter. Dans les pays non anglophones, les deux films composant Grindhouse seront distribués séparément. Les frères Weinstein