Critique : Rush hour
S'il y a bien un genre du cinéma d'action ayant su faire
ses preuves aussi bien en terme d'efficacité que de rentabilité, celui du buddy-movie s'imposerait
L'inspecteur Lee est un des fleurons de la police royale de Hong Kong. Sa placidité ne laisse rien soupçonner de son génie des arts martiaux. Âgée de onze ans, la fille du consul de Chine aux États-Unis fut son élève préférée, il en était le garde du corps, il en est resté le meilleur ami. Lorsqu'elle est enlevée par les hommes d'un maître du crime, qui a jadis abattu son coéquipier, Lee saute dans l'avion, bien décidé à retrouver la fillette et à châtier ses ravisseurs.
S'il y a bien un genre du cinéma d'action ayant su faire
ses preuves aussi bien en terme d'efficacité que de rentabilité, celui du buddy-movie s'imposerait
En attendant un hypothétique quatrième épisode Rush Hour, on a revu la trilogie de buddy-movies portée par Jackie Chan et Chris Tucker.
Aujourd'hui, c'est la journée de la femme. Et donc Rush Hour la souhaite à sa manière. Pas sûr que ça plaise à tout le monde.
Pas sûr qu'un Rush Hour 4 suffise à sortir Brett Ratner de la panade...