Critique : Alpha dog
Interprété par la fine fleur de la teen culture US Alpha Dog stigmatise les tourments d'une génération sans interdits et son difficile retour à une réalité
Dans une banlieue riche de L.A., Johnny et sa petite bande jouent aux durs et trafiquent un peu. Livrés à eux-mêmes, leur vie n'est qu'une quête permanente d'émotions fortes. Pour s'assurer que Jake lui remboursera bien tout l'argent qu'il lui doit, Johnny et sa bande kidnappent son petit frère, Zack.Sous la bienveillante garde de Frankie, Zack va alors se mêler au groupe au cours d'une virée de trois jours riche d'alcool, de filles et de nouvelles expériences. D'heure en heure, son statut d'otage devient de plus en plus flou pour tout le monde. Pourtant, la réalité de la situation ne va pas tarder à resurgir. Pressé par son père, pourchassé par la police, Johnny a le choix entre une prise de conscience et une fuite en avant. La situation va lui échapper, bien au-delà du pire...
Interprété par la fine fleur de la teen culture US Alpha Dog stigmatise les tourments d'une génération sans interdits et son difficile retour à une réalité
Changement radical de registre pour Nick Cassavetes qui, après la comédie romantique à succès N'oublie jamais, se lance avec Alpha dog dans la bio de Jesse James
Mauvaise nouvelle concernant le nouveau film de Nick Cassavetes (N'oublie jamais), Alpha Dog, adaptation à l'écran de la vie de Jesse James Hollywood avec Bruce