Bleu d'enfer : Critique
Après Blue Crush, sa mer bleue azur et sa Kate Bosworth en bikini, John Stockwell nous propose Bleu d'enfer, sa mer bleue azur et sa Jessica Alba en bikini. Pour les amateurs de la pulpeuse actrice, les photos en bas de la critique (disponibles également dans notre galerie photos) sont là pour réchauffer le cur et plus si affinités. Attention toutefois, on ne vous mentira pas : si le film démarre comme un best of Alba, le côté bikini aquatique laisse vite la place à une réelle intrigue.
Car oui, Bleu d'enfer se targue d'avoir une histoire. Certes, celle-ci est loin d'être très originale (une version modernisée des Grands fonds) mais a le mérite d'être suffisamment efficace pour laisser la place attendue aux nombreuses séquences aquatiques. Séquences qui permettent à Stockwell de réaffirmer, après Blue crush, une réelle aptitude à rendre cinégéniques des ballets sous-marins. À tel point que son nouveau film ne décolle vraiment que lorsqu'il déplace son récit sous l'eau. Autant les scènes à la surface sont d'un réel ennui car à peine digne d'une mauvaise série TV des années 80, autant les scènes aquatiques possèdent un look et un impact enthousiasmants (mention spéciale à la séquence nocturne à la conclusion dramatique).
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(5.0)