Robocop : Critique
Déformé par deux suites, deux séries télévisées ainsi que de nombreux jeux et jouets pour enfants, l'empreinte de Verhoeven ne semble aujourd'hui qu'un logo,
À l'aube de l'an 2000, Détroit est, comme toujours dans cette sorte d'histoire, la proie du crime et de la corruption. Pour pallier ce terrible état, les services de police inventent une nouvelle arme infaillible, Robocop, mi-homme, mi-robot, policier électronique de chair et d'acier qui a pour mission de sauvegarder la tranquillité de la ville. Mais comme souvent, ce cyborg a aussi une âme.
Déformé par deux suites, deux séries télévisées ainsi que de nombreux jeux et jouets pour enfants, l'empreinte de Verhoeven ne semble aujourd'hui qu'un logo,
50% satire. 50 % action. 100% inégale. La saga Robocop, issue du film de Paul Verhoeven, mérite qu'on s'y attarde. On a pris l'excuse du classement.
Neill Blomkamp a détaillé ce qu’il avait en tête pour la suite de RoboCop qu’il devait réaliser en 2018, et cela ne vend pas du rêve.
Si la franchise culte de science-fiction a du mal à retrouver le chemin des salles, elle pourrait bientôt regagner le petit écran avec une série préquelle.